Ostéoporose et Rhumatologue
Vous avez eu un diagnostic d’ostéoporose (ou d’ostéopénie), et vous savez que le médecin spécialiste des os est le rhumatologue.
Si vous envisagez votre visite avec un (tout petit) pincement au coeur ou à l’estomac, bienvenue dans le cercle !
Nous allons voir ensemble comment faire en sorte que tout se passe bien.
Nous allons ainsi définir tout ce que vous pouvez faire pour ressortir de votre visite avec les meilleures réponses possibles.
Et pour cela, nous allons partir sur le jeu de piste des meilleures façons de préparer votre consultation.
Car la meilleure façon de tirer le meilleur de votre consultation, c’est d’être parfaitement prête.
Qu’en pensez-vous ?
Alors, on y va ?
C’est parti !
Sommaire
Introduction : ostéoporose et rhumatologue
Le rhumatologue, l’ostéoporose et au-delà
Définition et étymologie du rhumatologue
L’ostéoporose et les maladies osseuses
Autres affections traitées par le rhumatologue
Préparer la consultation avec le généraliste
Les traitements proposés par le rhumatologue contre l’ostéoporose
Les médicaments contre l’ostéoporose
La reminéralisation osseuse naturelle
Les indicateurs de risque de votre ostéoporose pour le rhumatologue
La consultation chez le rhumatologue
Évaluation de vos risques
Préconisation d’un traitement
Récapitulatif de la préparation de votre consultation ostéoporose avec un rhumatologue
La préparation initiale
Les questions à poser au rhumatologue concernant votre ostéoporose
Conclusion : rhumatologue et ostéoporose
Sources : Rhumatologie & Ostéoporose
Le rhumatologue, l’ostéoporose et au-delà.
Définition et étymologie du rhumatologue
La rhumatologie est une spécialité médicale spécifique exercée par les médecins rhumatologues.
La rhumatologie est donc la spécialité qui s’occupe d’étudier, dépister, traiter et de soigner les affections et maladies musculo-squelettiques et articulaires.
L’origine du mot vient pourtant d’une époque où l’on considérait que toute maladie venait des humeurs.
C’est en effet une trace « archéologique » de la médecine d’Hippocrate et de son temps antique.
Dans rhumatologie, vous aurez vite fait de reconnaître le suffixe « logie », qui signifie science, mais aussi discours (logos).
Et vous aurez aussi reconnu le mot « rhume », dont vous vous demandez sans doute quel rapport il peut bien avoir avec les muscles, les os et les articulations…
En fait, autrefois, le mot « rhume » signifiait un flux, une marée.
Si ce flux pathologique se répandait à l’intérieur du corps, alors il pouvait entraîner des souffrances des organes.
Le rhumatisme (fin du XVI° siècle) était, en fait, une sorte de rhume des articulations.
Et le spécialiste des rhumatismes est donc un rhumatologue, mot inventé au XX° siècle.
L’ostéoporose et les maladies osseuses
L’ostéoporose
Comme vous le savez, l’ostéoporose est une des (nombreuses) maladies osseuses existantes, selon la médecine et l’OMS.
C’est une affection où la densité et la structure minérales de l’os s’affaiblissent progressivement.
Elle se produit quand les ostéoclastes (cellules qui démontent l’os) font plus de travail que les ostéoblastes (les cellules qui construisent l’os).
L’âge est un facteur important de déminéralisation, mais il y a d’autres facteurs très importants.
Nous en avons déjà parlé dans un autre article : facteurs de risques.
Mais d’autres maladies osseuses existent, qui sont différentes de l’ostéoporose.
Autres maladies osseuses
Le rachitisme est un défaut de croissance de l’os chez les enfants.
Il est le plus souvent lié à des déficits nutritionnels (vitamine D, calcium, phosphore…).
L’ostéomalacie est un défaut d’entretien de l’os des adultes ayant des causes comparables au rachitisme.
L’ostéomalacie se produit souvent au moment ou à la suite d’une grossesse.
La maladie de Paget est une maladie dont l’origine n’est pas complètement comprise et qui peut aboutir à des déformations et des fragilités osseuses, notamment chez des personnes âgées.
La maladie est os de verre est une maladie de la structure biologique de l’os entraînant une fragilité de celui-ci.
Elle est d’origine génétique, le plus souvent.
Il existe malheureusement encore bien d’autres affections osseuses, et notamment des tumeurs ou des maladies inflammatoires
Autres affections traitées par le rhumatologue
Nous avons vu que le rhumatologue étudie, diagnostique et soigne les maladies et affections musculo-squelettiques et articulaires.
Aussi s’intéressent-ils aussi aux cartilages (arthrose, notamment), aux tendons (tendinopathies), aux maladies inflammatoires des articulations (arthrite, spondyloarthrite ankylosante, polyarthrite rhumatoïde…), certaines maladies auto-immunes…
Bref, le champ est extrêmement large :
- Certaines des affections sont très courantes (arthrose, ostéoporose).
- D’autres (heureusement) beaucoup moins fréquentes.
Aussi, vous n’en entendrez que rarement parler et vous ne les rencontrerez sans doute jamais (maladie de Behçet, de Sjögren, d’Eheler-Danlos, de Marfan, etc…).
Préparer la consultation avec le généraliste
Quand vous arriverez chez votre généraliste avec vos résultats d’ostéodensitométrie, il pourra peut-être vous suggérer d’aller chez un rhumatologue.
Cela dépendra de l’avancement de votre déminéralisation osseuse et de vos facteurs de risques.
Développez un dialogue avec votre généraliste pour préparer au mieux la consultation avec le spécialiste.
Demandez-lui :
- pour quelles raisons il ne vous propose pas de prendre lui-même l’affection en charge,
- quels sont les rhumatologues qu’il a dans son carnet d’adresses,
- dans quels domaines ils sont plus particulièrement versés,
- quelles différences ils présentent dans la relation avec la patiente,
- le degré d’interventionnisme qui les caractérise éventuellement,
- comment il est possible d’avoir des avis des patientes précédentes,
- comment se déroule la coordination éventuelle des soins avec le médecin traitant et les autres spécialistes qui vous suivent…
Exprimez vos préférences éventuelles quant à l’emplacement, vos capacités de déplacement…
Parfois, en fonction de là où vous vivez, le choix sera très restreint.
Souvent, les rendez-vous avec les rhumatologues sont très longs à obtenir : plusieurs mois…
Les traitements proposés par le rhumatologue contre l’ostéoporose
Les médicaments contre l’ostéoporose
Si votre médecin généraliste vous envoie chez un rhumatologue pour l’ostéoporose, c’est souvent qu’il pense que vous pourriez – sans doute – bénéficier d’un traitement avec des médicaments contre l’ostéoporose.
En effet, quand la situation de déminéralisation est avancée, et qu’il y a déjà des fractures ou des risques de fractures importants, il existe des médicaments qui diminuent les risques de fractures.
Car certaines fractures liées à l’ostéoporose peuvent avoir des conséquences gravissimes (éventuellement décès), et il vaut mieux les éviter.
C’est le cas, en particulier, des fractures vertébrales et des des fractures du col du fémur.
Ce type de fractures est qualifié de « sévère » en raison de leur gravité.
Il y a 2 grands groupes de médicaments :
- ceux qui empêchent la déconstruction de l’os,
- ceux qui stimulent la construction de l’os.
Dans le premier groupe, vous avez deux types de médicaments :
- le dénosumab : piqures tous les 6 mois, à utiliser le plus longtemps possible car si on arrête, il peut y avoir de gros problèmes de fractures.
- les bisphosphonates : comprimés (hebdomadaires ou mensuels) ou injection (annuelles) pendant 3 à 5 ans.
Dans le deuxième groupe, il y a 2 types de médicaments :
- le tériparatide : injection tous les jours pendant 18 mois, ensuite envisager un autre médicament, le plus souvent du premier groupe. Réservé aux personnes ayant déjà eu des fractures vertébrales.
- le raloxifène : comprimés à prendre tous les jours, le plus longtemps possible, jusqu’à 70 ans.
Enfin, plus récemment un médicament « hybride » est apparu : le romosozumab.
Il est réservé aux personnes gravement fracturées des vertèbres.
Avantages et inconvénients
Tous ces médicaments ont des domaines d’emploi spécifiques, et les effets secondaires sont très variables selon les personnes.
Si la situation est encore solide, il est possible de se passer de médicaments et d’améliorer la situation en adoptant des mesures de reminéralisation naturelle.
Parce que, comme vous le savez, les médicaments, ça présente un certain nombre de contraintes et de risques dont il vaut mieux peser les avantages et les inconvénients.
Alors, si c’est possible, il vaut vraiment mieux s’en occuper sans médicaments et mettre au point son propre programme de reminéralisation osseuse naturelle sans médicaments.
La reminéralisation osseuse naturelle
Préambule : prévention & médecine
La prévention est – trop souvent – le parent pauvre de notre système de santé.
La reminéralisation naturelle est simplement une version plus complète de ce que les médecins appellent les mesures hygiéno-diététiques.
Pourtant, actuellement, en matière de déminéralisation osseuse, fort peu de médecins les connaissent de manière vraiment approfondie.
En effet, ces recommandations ont beaucoup évolué et sont le fruit de recherches récentes réalisées depuis moins de 5 ans.
Les médecins en activité n’ont jamais pu en avoir connaissance au cours de leurs études.
En outre, les rhumatologues sont le plus souvent confrontés à des cas graves d’ostéoporose : un pompier est rarement en même temps un architecte…
Pour ces cas graves, la prévention n’est sans doute plus suffisante et un traitement d’urgence peut être nécessaire.
Nutrition & stimulation
La reminéralisation osseuse naturelle repose sur 2 grands principes : nutrition & stimulation.
Il s’agit de bien nourrir l’os et de le stimuler intelligemment.
Parce que les os, c’est comme les muscles : pour les renforcer, il faut les bien nourrir et les stimuler.
Si on les nourrit bien sans les stimuler, on ne fait pas de muscle, on ne fait pas d’os : on fait du gras…
Vous trouverez quelques premières précisions ci-dessous.
Si vous voulez définir votre propre programme de reminéralisation osseuse naturelle, vous pouvez lire le guide de référence sur la question.
Ce livre vous aidera également à préparer votre consultation avec vos médecins en vous transformant en patient-expert.
Nutrition des os
Pour bien nourrir ses os, votre généraliste vous proposera souvent des suppléments de vitamine D et de calcium.
Seul le supplément de vitamine D est réellement indispensable (au minimum en automne et en hiver).
Tous les autres nutriments importants et souvent déficitaires (calcium, protéines, magnésium, vitamine C…) peuvent être apportés en quantités suffisantes par une alimentation bien pensée (de préférence de type méditerranéen).
Par contre, il est nécessaire de vérifier ces apports, car les déficits sont assez fréquents.
Stimulation des os
Il s’agit des activités à impact (qui stimulent les fémurs, comme la course à pied, l’utilisation des escaliers, le saut à la corde…).
Il s’agit de soulever des charges suffisantes avec des modalités différentes pour les fémurs, les vertèbres ou les poignets.
Bien sûr, toutes ces activités ne sont pas forcément à la portée de tout le monde : il s’agit d’adapter au cas de chacune.
Vous pouvez demander conseil à votre kinésithérapeute.
Autres mesures
D’autres mesures sont fort utiles comme :
-
- une bonne digestion afin de bien assimiler les nutriments (les maladies inflammatoires intestinales sont néfastes pour le squelette),
- une diminution de l’inflammation chronique (les ostéoblastes reconstruisent les os moins vite en cas d’inflammation),
- l’amélioration de l’équilibre (il s’agit de diminuer les risques de chutes).
Les indicateurs de risque de votre ostéoporose pour le rhumatologue
Le rhumatologue va se fonder sur tout un faisceau d’indices pour évaluer votre ostéoporose.
Il est donc important de lui fournir tous les éléments qui vont lui permettre de se faire une juste idée de la situation et de sa gravité.
Bien sûr, vos résultats d’ostéodensitométrie sont indispensables en tout premier lieu.
Mais il convient également que vous indiquiez au rhumatologue les différents facteurs de risques qui pourraient vous concerner.
Vous trouverez une liste par le présent lien : facteurs de risques.
Le rhumatologue vous interrogera aussi sur d’autres affections qui pourraient vous affecter et ont une incidence sur la santé osseuse :
-
-
- diabète de type 1 (insulino-dépendant),
- ostéogenèse imparfaite (maladie des os de verre),
- hyperthyroïdisme long,
- ménopause précoce (avant 45 ans) ou hypogonadisme,
- malnutrition chronique (anorexie…),
- malabsorption (maladies inflammatoires digestives par exemple),
- maladies chroniques du foie…
-
Apportez également vos examens sanguins, d’autant plus s’ils sont récents et qu’ils portent sur les points listés dans l’article en lien : examens sanguins.
La consultation chez le rhumatologue
Évaluation de vos risques
Avec tous ces éléments en main, le rhumatologue va pouvoir se faire une idée de la fragilité éventuelle de votre squelette.
En fonction de votre T-Score, il vous indiquera généralement ce que les recommandations officielles préconisent.
Vous trouverez d’ailleurs un résumé de ces recommandations ici : recommandations officielles.
Vous pourrez ainsi vérifier qu’il existe des « zones » où la préconisation est laissée à l’avis éclairé du rhumatologue.
En effet, pour un même t-score, en fonction de vos facteurs de risques personnel, le rhumatologue pourra envisager un traitement contre l’ostéoporose plus ou moins rapidement, et même pas de traitement à court terme.
Pour affiner son jugement, le rhumatologue dispose de toute son expérience avec laquelle il peut estimer ce qu’il pense le meilleur pour vous.
Il peut aussi s’aider d’un calculateur de risques de fractures sur 10 ans : le FRAX.
Ce calculateur est en accès libre sur internet, et, avec tous les éléments dont vous disposez, vous pouvez faire le calcul vous-même.
Soyez attentive : car il y a des petits pièges et des astuces : lisez bien la méthodologie.
Ainsi vous aurez une estimation de vos risques de fractures liées à l’ostéoporose avant même d’aller chez le rhumatologue.
Avant de vous affoler, rappelez-vous qu’un risque de 10 % sur les 10 prochaines années est un risque d’1 % par an.
Autrement, cela représente 99 % de chances par an de ne rien vous casser.
Rappelez-vous également qu’une personne avec des os en parfaite santé n’a pas un risque de fracture égal à zéro: le risque nul n’existe pas…
Vous pouvez faire ce calcul en suivant la méthodologie indiquée dans l’article suivant : calcul de FRAX.
Préconisation d’un traitement
En fonction de vos risques, de vos facteurs de risques, des zones osseuses déminéralisées, le rhumatologue sera peut-être amené à vous recommander un traitement.
- Demandez-lui quels sont les avantages et les inconvénients (notamment les effets secondaires) du ou des traitements proposés.
- Enquerrez-vous s’il existe une alternative avec d’autres traitements.
- Demandez-lui, ensuite, les risques que vous courez si vous ne prenez pas de traitement, ou si vous attendez un an pour vous décider.
- Informez-vous si des mesures hygiéno-diététiques pourraient être indiquées pour vous, si elles pourraient vous permettre d’attendre.
- Demandez-lui, aussi, s’il est informé des possibilités de reminéralisation par l’exercice physique.
Sur ce dernier point, vous pouvez d’ailleurs lui parler de la communication du Dr VICO devant le GRIO en janvier 2023 : cf. docteur VICO.
Laissez-vous le temps de réfléchir et si certaines réponses ne vous semblent pas convaincantes, posez des questions complémentaires.
Au final, c’est vous, le ou la patiente, qui décidez ce qui est le meilleur pour votre santé osseuse : vous n’avez pas à vous conformer à des injonctions aussi terrifiantes soient-elles.
Certaines patientes m’ont indiqué avoir eu des conversations très constructives avec leur rhumatologue.
D’autres patientes (pas toutes, loin de là) m’ont raconté avoir ressenti des pressions fortes, pénibles pour leur imposer tel ou tel médicament devant lequel elles étaient réticentes.
Vous êtes là, en effet, pour avoir un avis éclairé d’expert, pas un ultimatum.
Car le décisionnaire final, le décisionnaire ultime : c’est vous !
C’est vous qui savez ce qui est le meilleur pour vous-même.
Récapitulatif de la préparation de votre consultation ostéoporose avec un rhumatologue
La préparation initiale
Rassemblez les éléments suivants :
- ostéodensitométries,
- facteurs de risques,
- examens sanguins
Renseignez vous, ensuite, sur les traitements envisageables :
- bisphosphonates
- denosumab
- tériparatide
- raloxifène
- romosozumab
- mesures hygiéno-diététiques (reminéralisation osseuse naturelle)
Éventuellement :
- calculez votre risque de fracture à 10 ans,
- puis, lisez l’article sur les derniers conseils (2023) en matière d’exercice physique (trop peu connues de beaucoup de rhumatologues)
Les questions à poser au rhumatologue concernant votre ostéoporose
Voici, enfin, une suggestion de quelques questions que vous pouvez glisser en cours de consultation à votre rhumatologue :
- Quelle est l’origine de mon ostéoporose ?
- Y-a-t-il des examens complémentaires à faire pour en trouver l’origine et les causes et les traiter ?
- Comment et à quelle vitesse cette ostéoporose va-t-elle évoluer dans le temps ?
- Quelles sont les situations d’urgence possibles et comment les éviter ou y faire face ?
- Quelles sont les options médicamenteuses, leurs avantages, leurs inconvénients ?
- Que pense-t-il des mesures hygiéno-diététiques (reminéralisation osseuse naturelle) pour vous ?
- Quelle coordination prévoir avec d’autres médecins ?
- Quand aura lieu le prochain rendez-vous avec le rhumatologue ?
Conclusion : rhumatologue et ostéoporose
En préparant votre visite chez le rhumatologue, vous allez devenir un patient expert, un patient beaucoup plus apte à vraiment prendre soin de sa santé osseuse.
Vous allez :
- d’abord, découvrir des connaissances mal maîtrisées par l’immense majorité de la population, y compris par de nombreux professionnels de santé ;
- pouvoir, ensuite, poser les bonnes questions pour orienter les conseils en fonction de vos préférences et de vos besoins personnels spécifiques ;
- peut-être découvrir que vous préférez telle ou telle option ;
- enfin, vous donner le temps de réfléchir…
Vous serez réellement actrice de votre santé osseuse et générale.
Le rhumatologue ne sera plus jamais le sachant dictant votre conduite.
Il redeviendra alors votre conseiller personnel à haute valeur ajoutée au service de votre plus belle vie : celle qui est devant vous.
Quoi que vous décidiez, vous le ferez en conscience, en sachant ce que vous faites.
Et vous aurez tout intérêt à accompagner votre bonne décision de votre propre programme de reminéralisation osseuse naturelle pour mettre toutes les chances de votre côté.
A cet effet, vous pouvez demander le petit livret préparé par l’auteur de cet article à votre attention.
Il vous suffit, si cela vous dit, de laisser vos coordonnées en bas de l’article.
Prenez soin de vous : car c’est important !
Et bonne consultation chez le rhumatologue !
Sources : Rhumatologie & Ostéoporose
Merle B. Abstract SA0271: Osteoporosis Prevention: Where are the barriers to improvement in patients and doctors? Presented at: American Society for Bone and Mineral Research (ASBMR) 2015 Annual Meeting; Oct. 9-12, 2015; Seattle
« Avez-vous un bon médecin », Dr Brack, Dr Leveau, chez Albin Michel
Kanis, J.A., Hans, D., Cooper, C. et al. Interpretation and use of FRAX in clinical practice. Osteoporos Int 22, 2395–2411 (2011).
Kanis JA on behalf of the World Health Organization Scientific Group (2007), Assessment of osteoporosis at the primary health-care level. Technical Report, World Health Organization Collaborating Centre for Metabolic Bone Diseases, University of Sheffield, UK. 2007
Kanis, J.A., McCloskey, E., Johansson, H. et al. FRAX® with and without Bone Mineral Density. Calcif Tissue Int 90, 1–13 (2012).
Karine Briot, Christian Roux, Thierry Thomas, Hubert Blainc, Daniel Buchond, Roland Chapurlate, Françoise Debiais, Jean-Marc Ferong, Jean-Bernard Gauvain, Pascal Guggenbuhl, Eric Legrand, Anne-Marie Lehr-Drylewicz, Eric Lespessailles, Florence Tremollieres, Georges Weryha, Bernard Cortet, Actualisation 2018 des recommandations françaises du traitement de l’ostéoporose post-ménopausique, Revue du rhumatisme, 85(2018), pages 428–440
Bon usage des médicaments de l’ostéoporose, Fiche bon usage, Haute Autorité de santé, Paris – janvier 2023, 9 pages
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Nouvelle Édition (2022)