Fracture et tassement vertébral (Ostéoporose) : comment les soigner ?

Fracture et tassement vertébral (Ostéoporose) : comment les soigner ?

Une fracture vertébrale ou un tassement vertébral peuvent être une conséquence grave, tragique de l’ostéoporose.

Grave, car les douleurs peuvent être insupportables, au moins momentanément, et parfois durablement.

Tragique, car une fraction importante des personnes qui fracturent une vertèbre décèdent rapidement.

Aussi, si vous êtes concernée, de près ou de plus loin, je compatis avec vous.

J’ai donc écrit cet article afin de vous aider à trouver les bonnes solutions pour

  • en sortir, si vous êtes concernée directement ou pour un proche,

  • vous éviter de vivre une telle situation si vous la craignez…

Ce n’est nullement une situation enviable pour personne.

Néanmoins, il est le plus souvent possible de continuer à vivre une vie heureuse quelques mois après une fracture.

Voici comment.

Plan de l’article

I. Introduction

A. Fracture et tassement vertébral : Définition

B. Fracture et tassement vertébral liés à l’ostéoporose

II. Quels sont les types de fracture ou tassement vertébral, en particulier en cas d’ostéoporose

A. Fractures de compression

B. Fractures par tassement

C. Autres types de fractures vertébrales

III. Diagnostic précoce

A. Quels sont les symptômes des fractures et tassements vertébraux

B. Consultation médicale et examens diagnostiques

IV. Gestion de la fracture ou du tassement vertébral liés à l’ostéoporose

V. Prévention de la fracture ou du tassement vertébral liés à l’ostéoporose

VI. Accompagnement psychologique et émotionnel des patientes

VII. Conclusion sur fracture et tassement vertébral liés à l’ostéoporose

VIII. Sources

Ostéoporose : soigner fracture et tassement vertébral

I. Introduction

A. Fracture et tassement vertébral : Définition

Les fractures et les tassements vertébraux correspondent à des ruptures, des cassures, des déformations de la structure des vertèbres.

Autrement dit, cela veut dire que la vertèbre a perdu sa forme initiale lors d’un événement rapide.

Ce changement de forme se traduit le plus souvent par une diminution de taille de la vertèbre.

Les principaux types de fractures sont les fractures de compression et les fractures par tassement.

Nous reverrons ces types de manière plus détaillée un peu plus loin dans ce texte.

Elles peuvent se produire en raison d’un choc ou d’une charge trop importante subie par la vertèbre fracturée.

Elles peuvent également se produire quand la vertèbre devient intrinsèquement fragile.

La fragilité interne peut se produire notamment dans les cas de :

  • cancers des os,

  • maladies génétiques (maladie des os de verre par exemple),

  • ostéoporose (et ostéomalacie)…

B. Fracture et tassement vertébral liés à l’ostéoporose

Comme vous le savez, l’ostéoporose est une maladie qui entraîne une très forte augmentation des risques de fracture.

Toutes les fractures sont une tragédie pour celui qui les vit.

Toute fracture entraîne des douleurs qui peuvent être importantes.

En outre, elle implique le plus souvent l’impossibilité de continuer à vivre sa vie habituelle.

Bref, c’est la… (mot de Cambronne : censuré)

Toutefois, les fractures de vertèbres liées à l’ostéoporose sont particulièrement graves.

En effet, elles entraînent le décès du patient dans 20 % des cas, encore plus chez les hommes.

Les taux sont d’autant plus importants que les personnes sont âgées.

En effet, le choc physiologique lié à ces fractures peut affecter si fortement les personnes affaiblies par l’âge qu’elles n’y survivent pas.

C’est d’ailleurs pour cela que les médecins les classent dans les fractures sévères, avec les fractures du col du fémur.

Chez les femmes de plus de 50 ans, les fractures vertébrales sont un peu moins fréquentes que les fractures de hanche.

Par contre, chez les hommes de plus de 50 ans, il y a plus de fractures vertébrales que de fractures de hanche.

Bref, il est important de s’en occuper dès que l’on prend conscience des risques pour éviter que cela se produise ou se reproduise.

Nous allons donc voir comment nous pouvons faire…

II. Quels sont les types de fracture ou tassement vertébral, en particulier en cas d’ostéoporose

Quand on analyse une fracture vertébrale, en fonction du type de dommage, du type de cassure, on va la classer dans une catégorie spécifique.

Il existe, en fait, plusieurs systèmes de classement des fractures et tassements des vertèbres.

Pour faire simple, en cas d’ostéoporose, les deux types principaux de fracture et tassement vertébral sont :

  • les fractures de compression,

  • les fractures par tassement.

Il semble que les fractures de compression soit légèrement plus fréquentes que les tassements.

Les vertèbres touchées sont, le plus souvent les vertèbres dorsales (au milieu du dos) ou lombaires (en bas du dos).

Les vertèbres cervicales (haut de la colonne) sont plus rarement touchées.

A. Fractures de compression

Dans le cas d’une fracture de compression, c’est toute la surface de la fracture qui est concernée.

Ainsi, la vertèbre s’écrase sur elle-même dans le sens vertical en perdant de la hauteur.

Cela peut se produire en cas de chute sur les fesses, ou en cas de charge trop importante sur le dos.

La conséquence directe sera une diminution de taille de la personne touchée.

Cette diminution peut être plus ou moins importante en fonction de la gravité de la fracture et du nombre de vertèbres touchées.

B. Fractures par tassement

Les fractures par tassement vertébral en cas d’ostéoporose correspondent à un écrasement de la partie avant de la vertèbre.

Dans ce cas de tassement vertébral, l’arrière de la vertèbre n’est pas touché et conserve sa taille, alors que l’avant de la vertèbre s’affaisse.

De ce fait, la géométrie générale de la colonne vertébrale change : la colonne vertébrale va prendre une inclinaison plus importante vers l’avant.

Une conséquence du tassement vertébral sera que la personne touchée sera de plus en plus voûtée vers l’avant.

C. Autres types de fractures vertébrales

Les services de traumatologie peuvent rencontrer d’autres types de fractures vertébrales, le plus souvent sans rapport direct avec l’ostéoporose.

Il peut y avoir des :

  • fractures de fragmentation, où la vertèbre est cassée en plusieurs morceaux,

  • fractures d’hyperextension ou d’hyperflexion, liées à des accidents violents,

  • des fractures de rotation,

  • des fractures des apophyses, c’est-à-dire des parties qui dépassent de la vertèbre vers l’arrière ou vers les côtés,

  • etc…

III. Diagnostic précoce

A. Quels sont les symptômes des fractures et tassements vertébraux

Les symptômes peuvent être très variables selon la gravité des fractures.

Ils relèvent notamment de

  • la douleur permanente ou lors de mouvements spécifiques,

  • la diminution de taille,

  • une modification de la posture de la personne (cyphose : penchée vers l’avant),

  • limitation des mouvements par raideur, notamment,

  • symptômes neurologiques (picotements, fourmillement, engourdissement, faiblesse musculaire…) liées à une compression de nerf…

Les symptômes neurologiques sont des urgences absolues car si les nerfs sont endommagés, les conséquences peuvent être dramatiques, y compris à long terme.

Toutefois, certains tassements vertébraux peuvent passer inaperçus au moment où ils se produisent.

Ainsi, il arrive que les radiologues constatent qu’une vertèbre a une forme étrange alors que la patiente ne s’est rendu compte de rien.

Cela se produit souvent plusieurs années après l’accident.

C’est un moindre mal, puisqu’il n’y a pas de douleur sur le moment.

Toutefois, c’est un risque pour la suite de la vie de la personne car elle va continuer à ignorer sa fragilité vertébrale trop longtemps.

Elle ne pourra donc pas prendre les mesures adéquates pour éviter l’aggravation de la situation.

A contrario, les douleurs peuvent être très intenses, voire insupportables juste après la fracture et nécessiter des soins d’urgences importants.

Parfois, les douleurs sont durables, en particulier quand la déformation de la colonne vertébrale entraîne une compression des organes internes ou des contacts entre côtes ou entre côtes et bassins…

Il est donc extrêmement important de repérer les symptômes pour

  • intervenir le plus rapidement possible,

  • éviter une aggravation de la situation

  • et permettre de sauver tout ce qui peut l’être,

  • notamment en traitant la douleur de manière efficace.

B. Consultation médicale et examens diagnostiques

1. Comment diagnostiquer une fracture ou tassement vertébral

Dès que vous suspectez une fracture, vous avez tout intérêt à consulter un médecin.

Selon le cas, cela sera soit à son cabinet, si vous pouvez vous déplacer, soit chez vous, si le déplacement n’est pas envisageable.

Pour préparer votre consultation, rassemblez tous les éléments qui peuvent être utiles à votre médecin : examens (imagerie de la colonne vertébrale, ostéodensitométrie, examens sanguins…), recensez vos différents facteurs de risque d’ostéoporose, listez les circonstances qui entraînent des douleurs (permanentes, liées à une position, à un mouvement particulier…), symptômes neurologiques…

Si la situation l’exige, votre médecin vous auscultera.

Il pourra notamment effectuer des pressions sur les vertèbres pour vérifier l’intensité, l’étendue et l’origine des douleurs éventuelles.

Ensuite, il pourra vous prescrire des examens complémentaires, et en particulier des images médicales.

2. Imagerie médicale de la fracture ou du tassement vertébral

a. Radiographies

En premier lieu, la radiographie permet de vérifier si des déformations sont visibles sur les vertèbres.

C’est le premier niveau d’imagerie possible, qui permet de détecter les anomalies les plus évidentes.

b. Scintigraphie osseuse

Si la radio ne permet pas de déterminer la présence d’une fracture alors que le médecin suspecte une anomalie significative, il pourra envisager une scintigraphie qui permet de déceler des anomalies métaboliques de l’os.

c. Tomodensitométrie (Scanner)

Une tomodensitométrie pourra être nécessaire pour affiner la gravité d’une fracture et évaluer en urgence l’atteinte des tissus environnants.

d. Imagerie par résonance magnétique (IRM)

Enfin, l’IRM sera très utule pour analyser les atteintes aux tissus mous à proximité des vertèbres, et particulièrement les disques intervertébraux et la moêlle épinière.

e. Densité minérale osseuse (DMO)

Si l’information sur la densité osseuse n’est pas disponible ou trop ancienne, votre médecin pourra aussi vous prescrire une ostéodensitométrie.

3. Autres examens

D’autres examens peuvent également être envisagés pour mieux cerner les causes précises de la fracture et de l’éventuelle déminéralisation.

IV. Gestion de la fracture ou du tassement vertébral liés à l’ostéoporose

Le traitement et la gestion de la fracture vertébrale ou du tassement, liés ou non à l’ostéoporose, fait intervenir de nombreuses spécialités complémentaires.

Il s’agira d’une part de professionnels de santé ainsi que d’autres professions paramédicales en tant que de besoin…

Par exemple : médecin généraliste, radiologue, rhumatologue, chirurgiens orthopédiques, kinésithérapeutes et thérapeutes physiques, psychologues, biologistes, prothésistes…

En effet, pour la personne concernée, il faudrait souvent :

  • soulager les douleurs, notamment par des analgésiques, éventuellement des anti-inflammatoires (bien que leur usage soit contesté), voire des injections…

  • envisager une prothèse (notamment une ceinture ou un corset qui, utilisé avec intelligence et momentanément permet de soulager certains types de douleurs en diminuant la pression sur la vertèbre cassée),

  • renforcer les muscles qui soutiennent la colonne vertébrale et retrouver de la mobilité fonctionnelle,

  • mettre en place des traitements médicaux rhumatologiques pour arrêter la déminéralisation osseuse et stabiliser la situation,

  • opérer les vertèbres fracturées si la situation l’impose (déformation importante) : cela peut se faire par vertébroplastie (cimentoplastie) ou kyphoplastie, voire par fusion vertébrale.

Pour votre information, la vertébroplastie consiste à injecter un « ciment » biologique dans les vertèbres pour les stabiliser définitivement.

La kyphoplastie comprend en outre une restauration au moins partielle de la forme de la vertèbre grâce à des ballonnets gonflables avant l’injection de ciment biologique.

V. Prévention de la fracture ou du tassement vertébral liés à l’ostéoporose

Compte tenu des terribles conséquences de la fracture vertébrale, il vaut bien mieux s’y prendre à l’avance pour éviter d’en arriver là, même avant que l’ostéoporose soit présente.

Pour beaucoup de personnes, cela veut dire mettre en place un traitement médicamenteux avant les fractures pour stabiliser la situation.

Il existe plusieurs familles de traitements médicamenteux utilisés par les rhumatologues.

Tous ces médicaments ont des domaines d’emploi spécifiques, et les effets secondaires sont très variables selon les personnes.

Si la situation est encore solide, il est possible de se passer de médicaments et d’améliorer la situation en adoptant des mesures de reminéralisation naturelle.

Parce que, comme vous le savez, les médicaments, ça présente un certain nombre de contraintes et de risques dont il vaut mieux peser les avantages et les inconvénients.

Alors, si c’est possible, il vaut mieux s’en occuper sans médicaments et mettre au point son propre programme de reminéralisation osseuse naturelle sans médicaments.

C’est tout l’objet du présent site internet sur lequel vous êtes en train de lire le présent article.

Pour en savoir plus, vous pouvez laisser votre adresse de courriel dans le cadre en bas de l’article.

Toutefois, quand la situation est avancée, et qu’il y a déjà des fractures ou des risques de fractures importants, il est souvent difficile de se passer des médicaments qui diminuent les risques de fractures.

Il convient toutefois de préciser que certaines personnes refusent absolument ces médicaments.

Ils peuvent d’ailleurs avoir toutes sortes de raisons tout à fait honorables.

VI. Accompagnement psychologique et émotionnel des patientes

Il est important d’apporter un vrai soutien aux patientes qui ont vécu des fractures de vertèbres pour différentes raisons importantes.

La douleur peut entraîner un enfermement psychologique, de l’anxiété et de la dépression d’autant plus qu’on ne la comprend pas et qu’on n’arrive pas à ressentir de soulagement rapide.

La perte de mobilité, la dépendance des personnes fracturées risquent de les faire se sentir diminuées, à la charge de tiers, de leur famille, de leur proche.

Aussi, la personne fracturée peut avoir le sentiment de perdre tout contrôle de sa vie.

En outre, une première fracture risque d’entraîner la peur d’en connaître de nouvelles, entraînant des précautions trop importantes et une auto-interdiction de prendre le moindre risque, la moindre initiative.

En effet, les experts ont chiffré à 7 % le risque de faire une deuxième fracture dans l’année qui suit la première liée à l’ostéoporose, et ce risque monte à 30 % sur 4 ans.

La personne qui vit cela risque alors de s’enfermer elle-même dans un tout petit espace, comme la tante Léonie de Marcel Proust dans sa chambre à Combray.

Bref, il est donc très important que vous ne vous enfermiez pas dans cette prison psychologique.

Il est important de trouver les bons ajustements à réaliser, les précautions utiles et libératrices, les nouvelles perspectives qui s’offrent à vous, malgré les difficultés.

En effet, le monde nous offre une infinité de possibilités que nous ne pouvons pas explorer.

Si nous perdons une partie de cette infinité, il en restera toujours d’innombrables autres sur lesquelles nous pouvons nous concentrer et qui nous offriront de grands plaisirs dans notre vie.

En quelques mois, avec un bon accompagnement psychologique, familial, amical, il est possible de retrouver une qualité de vie, différente de la précédente, et néanmoins gratifiante.

Se trouver une nouvelle cause à défendre, un nouveau combat à mener est souvent une piste libératrice.

Je connais d’ailleurs des personnes qui ont vécu ce type d’épreuves que je ne souhaiterais à personne et qui ont, par la suite, modifié leur vie de manière satisfaisante pour eux, et qui illumine les personnes autour d’elles.

VII. Conclusion sur fracture et tassement vertébral liés à l’ostéoporose

La fracture et le tassement vertébral liés à l’ostéoporose sont une conséquence très grave de la déminéralisation osseuse rachidienne.

Ils concernent en effet plus de 50.000 personnes de plus de 50 ans tous les ans, en France.

Ils aboutissent, en outre, à des décès rapides après ces fractures chez 20 % des personnes concernées.

Une première fracture est – trop souvent – prédictrice d’une seconde fracture dans les mois et les années qui suivent si on ne fait rien.

Il est donc indispensable de prendre des mesures pour stabiliser et améliorer la situation dès que le risque est repéré.

Mais si la fracture est déjà présente, il convient de la gérer au mieux sur différents plans : douleurs, consolidation, rééducation, soutien psychologique…

Il est possible de continuer à vivre, à se réjouir, à jouir de vivre, même après une fracture vertébrale, même avec de l’ostéoporose.

Mais si aucune fracture n’est présente, et que les risques de fractures sont encore limités, y compris en cas d’ostéoporose, il est possible d’arrêter et d’inverser la déminéralisation osseuse vertébrale de manière naturelle, sans médicaments.

Pour en savoir plus, vous pouvez laisser votre adresse de courriel dans le cadre en bas de l’article.

Ainsi, vous recevrez les dernières informations disponibles sur la reminéralisation naturelle sans médicaments.

VIII. Sources sur les fractures ou tassements vertébraux et l’ostéoporose

Tibert N, Ponzano M, Brien S, et al. Non-pharmacological management of osteoporotic vertebral fractures: Patient perspectives and experiences. Clinical Rehabilitation. 2023;37(5):713-724.

Ponzano, M., Tibert, N., Brien, S. et al. International consensus on the non-pharmacological and non-surgical management of osteoporotic vertebral fractures. Osteoporos Int 34, 1065–1074 (2023)

Gibbs JC, MacIntyre NJ, Ponzano M, Templeton JA, Thabane L, Papaioannou A, Giangregorio LM., Pratique d’exercices physiques pour améliorer les résultats après une fracture vertébrale ostéoporotique, Base de données Cochrane 2019, Issue 7

Daniel Alsoof, George Anderson, Christopher L. McDonald, Bryce Basques, Eren Kuris, Alan H. Daniels, Diagnosis and Management of Vertebral Compression Fracture, The American Journal of Medicine (2022) 135:815−821

Schnake KJ, Blattert TR, Hahn P, et al. Classification of Osteoporotic Thoracolumbar Spine Fractures: Recommendations of the Spine Section of the German Society for Orthopaedics and Trauma (DGOU). Global Spine Journal. 2018;8(2_suppl):46S-49S

Patel D, Liu J, Ebraheim NA. Managements of osteoporotic vertebral compression fractures: A narrative review. World J Orthop. 2022 Jun 18;13(6):564-573

National Institute for Health and Care Excellence (NICE), « Percutaneous vertebroplasty and percutaneous balloon kyphoplasty for treating osteoporotic vertebral compression fractures », NICE technology appraisal guidance 279, avril 2013

Boucher E, Rosgen B, Lang E. Efficacy of calcitonin for treating acute pain associated with osteoporotic vertebral compression fracture: an updated systematic review. CJEM. 2020;22(3):359-367

Kang, Sungwook PhDa; Chang, Min Cheol MDb; Kim, Hwanjin MSa; Kim, Jaewoong PhDc; Jang, Youngjae MSd; Park, Donghwi MDe; Hwang, Jong-moon MD, PhDf,g. The Effects of Paraspinal Muscle Volume on Physiological Load on the Lumbar Vertebral Column: A Finite-Element Study. SPINE 46(19):p E1015-E1021, October 01, 2021.

Takano, H. , Yonezawa, I. , Todo, M. , Hazli Mazlan, M. , Sato, T. and Kaneko, K. (2017) Biomechanical Study of Vertebral Compression Fracture Using Finite Element Analysis. Journal of Applied Mathematics and Physics, 5, 953-965.

Diana Swift, Ann Kearns, For Your Patients: The Many and Increasing High Costs of Osteoporosis, MedPage Today, 08 janvier 2024

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Cet article a 2 commentaires

  1. Ousmane

    Bonjour docteur,je souhaiterais avoir des informations sur la remineralisation naturelle

    1. HomNes

      Bonjour Ousmane,
      Je vous félicite pour votre intérêt pour la reminéralisation osseuse naturelle.
      C’est tout le thème du site sur lequel vous avez écrit votre commentaire.
      Pour en savoir plus, je vous invite à
      => lire la page d’accueil su site : https://homnes.com,
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      En faisant cela, vous deviendrez un expert sur ces sujets et vous aurez tous les éléments pour conserver durablement une bonne santé osseuse.
      Prenez soin de vous !

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